Adrian tripe complètement lorsque vient le temps d’acquérir de nouvelles parts de marché pour nos clients. Tel un général, il compte sur la prévisibilité de l’être humain, les statistiques et la mise en place d’un plan d’action réaliste pour mener à bon port son armée (oups, son client).
Et oui! Acquérir de nouvelles parts de marché pour un nouveau client c’est un de mes dadas!
Je ne sais pas pourquoi ça m’allume. J’adore être un concurrent féroce face à ma compétition.
Je ne suis pourtant pas un gars agressif dans la vie. Au contraire, je suis de nature plutôt tranquille et posé.
Par contre, j’avoue être très compétitif dans certains aspects de ma vie. Surtout en marketing!
Il n’y a pas de zones grises, on ne fait pas les choses à moitié, on s’empare du marché.
Ceci dit, il faut avoir les capacités nécessaires pour venir à bout de ses ambitions.
Heureusement, je baigne dans le marketing numérique depuis 1997. Ce que j’ai appris, c’est que les fondements de base n’ont pas vraiment changé.
On attire les clients et on close des ventes de la même manière depuis le début des temps.
Qu’est-ce qui a changé alors? Plusieurs nouveaux paramètres:
• l’attention des prospects a drastiquement diminuée
• la technologie mobile est priorisée
• le copywriting est plus important vue la plus grande concurrence
Mais nous, êtres humains, restons sensiblement prévisibles en matière de besoins et d’envies.
Et qui dit prévisibilité, dit aussi profitabilité du plan d’action marketing.
Et c’est ce que j’aime. Aider un client à se positionner dans son marché afin qu’il soit en mesure de prendre un gros “chunk” de ce marché.
Le tout en respectant notre règle de base chez Anekdotes.
«Ne jamais accepter de mandats qui ne nous permettront pas de livrer des résultats payants pour nos clients».
Cette règle, on la respecte 100% du temps.
Pour concurrencer intelligemment et arriver à livrer des résultats, ça prend des bonnes données.
Nous investissons un bon budget annuel afin d’avoir accès à des données concurrentielles précises sur les marchés que l’on désire “attaquer” (cibler).
Après tout, est-ce que vous partiriez en mission sans avoir fait une reconnaissance au préalable?
Un général d’armée vous regarderait comme si vous ne teniez pas à votre vie (ou dans ce cas-ci, à votre budget marketing!)
Suite à l’analyse des données, ça prend un plan d’action stratégique, réaliste et temporel qui prend en compte les ressources disponibles (humaines, techniques, monétaires, connaissances, etc.)
Vient ensuite une bonne gestion des attentes.
Parfois, le plan fonctionne plus vite que prévu et on «pop le champagne»!
Et parfois, les concurrents n’apprécient pas qu’un nouveau joueur entre sur leur terrain et ils “contre-attaquent” en redoublant d’ardeur (autrement dit, ils mettent plus de budget).
Il faut comprendre que c’est la réalité du terrain. On vise un effet de surprise, mais parfois on fait un peu trop de bruit en entrant sur le marché et en y prenant des parts non-négligeables.
Selon le concurrent, sa capacité budgétaire et son équipe marketing, la bataille sera plus ou moins longue.
Dans tous les cas, le premier ingrédient reste le même : l’agressivité.
Ou plutôt l’ardeur démontrée tout au long du processus. Il suffit d’être plus convaincant et plus constant que le concurrent.
Gagner une bataille peut parfois se faire seul.
Mais pour gagner la guerre, ça prend un effort d’équipe: représentant, stratège marketing, directeur(trice) de compte, gestionnaire de projet, graphiste, designer web, programmeur, client, ressources internes et externes du client et j’en passe. C’est l’effort uni d’une équipe solide qui permet de l’emporter!
Heureusement pour nos clients, et pour moi, on peut compter sur l’équipe solide d’Anekdotes pour remporter toutes les guerres à venir (juste un peu intense, le gars)!